Je t’ai offert tes diamants à ma mère ! Ils lui vont bien mieux ! — Mon mari a secrètement donné mon héritage à sa mère

Oh là là, écoute cette histoire

Camille ouvrit lécrin en bois de rose, ses doigts effleurant le velours usé. Les diamants scintillaient sous la lumière matinale, et son cœur se serra. Sa grand-mère, Élodie, lui avait offert ce coffret un mois avant de séteindre : une bague ornée dune pierre majestueuse, des boucles doreilles délicates et un pendentif sur une chaîne fine.

La voix de Théo résonna depuis le couloir :

« Camille, tu viens ? On est déjà en retard ! »

« Jarrive ! » répondit-elle en refermant lécrin.

Théo apparut dans lencadrement de la porte, les traits tendus. Trois ans de mariage avaient appris à Camille à décrypter ses humeurs.

« Tu admires encore les bijoux de mamie ? » fit-il en désignant lécrin. « Tu pourrais les porter, un jour. »

« Cest lanniversaire dune collègue, pas un gala », rétorqua Camille.

Il haussa les épaules et quitta la pièce. Elle rangea précieusement le coffret dans sa commode.

Deux semaines plus tard, sa belle-mère, Colette, vint dîner. Camille préparait le repas quand elle entendit :

« Théo, mon chéri, montrez-moi encore les diamants de Camille Quel gâchis de les laisser enfermés ! »

Camille serra son assiette, une vague de colère montant en elle.

« Maman, cest son héritage, cest à elle de décider », répondit Théo.

« Je comprends, mais La fille des Dubois se marie ! Imagine leffet avec ces bijoux »

Camille entra, posant les assiettes avec un calme forcé.

« Colette, je vous lai dit, ces bijoux ont une valeur sentimentale. »

« Un soir, cest tout ! Je ferais attention ! »

« Non. »

Le dîner fut glacial. Théo évitait son regard. Colette repoussa son assiette avec dédain.

Les semaines suivantes, Colette revint souvent, toujours avec la même requête. Théo, dabord silencieux, commença à prendre parti.

« Camille, ce ne sont que des pierres Maman est si triste. »

« Cest mamie Élodie qui me les a confiés ! »

Un soir, après une nouvelle visite, la dispute éclata.

« Ta mère devient insupportable ! » lâcha Camille.

« Cest toi légoïste ! » gronda Théo. « Tu préfères tes babioles à ma famille ! »

*Babioles ?* Le mot la transperça.

« Si cest ainsi, nous ne parlons pas la même langue », murmura-t-elle avant de senfermer dans leur chambre.

Le jour des soixante ans de Colette, Camille enfila une robe émeraude et voulut ajouter ses boucles doreilles en topaze, un autre cadeau de mamie. Lécrin était vide.

Elle dévala les marches, trouvant Théo à la cuisine, impassible.

« Où sont mes diamants ? » hurla-t-elle.

Il sirota son café. « Je les ai donnés à maman. Ils lui vont mieux. »

Le sol se déroba.

« Comment as-tu osé ?! »

« Elle les mérite plus que toi. »

Camille prit un taxi chez Colette. La porte souvrit sur sa belle-mère, parée des diamants.

« Enlève-les », ordonna Camille.

« Espèce de voleuse ! » cria Colette en reculant.

Camille détacha le collier, prit les boucles doreilles et la bague posée sur la console.

« Appelle la police, explique-leur comment ton fils a volé sa femme. »

De retour, Théo tempêta :

« Tu as ruiné son anniversaire ! »

« Voleur ! » cracha Camille. « Pars chez ta mère si elle compte plus que moi ! »

Un mois plus tard, le divorce était prononcé. Un soir, Colette appela :

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