Mon beau-fils m’a dit qu’il en avait assez ; alors j’ai décidé de ne plus faire semblant—Après treize ans à l’élever comme ma propre fille, il refuse mon aide et tout cadeau, tandis que la discussion sur son choix d’école dévoile sa distance, son refus d’accepter quoi que ce soit de moi et sa préférence pour demander à sa mère, ce qui me blesse profondément et me fait remettre en cause ma place dans notre famille recomposée.

Mon beau-fils a déclaré quil en avait assez, alors jai décidé que je nallais plus continuer ainsi.

Depuis treize ans déjà, jélève le fils de ma femme, issu de son premier mariage, comme sil était mon propre fils, tout comme je le fais avec ma fille. Ma fille me ressemble beaucoup, aussi bien dans sa personnalité que dans ses ambitions, nous partageons une certaine vision de la vie. Le garçon, en revanche, est le portrait craché de sa mère. Pour lui, tout est toujours suffisant; il ne demande rien de plus.

À chaque anniversaire, je demande à mes enfants ce quils aimeraient recevoir, ou quel cadeau leur ferait plaisir sous le sapin à Noël. Ma fille prépare consciencieusement une petite liste pour me guider, tandis que mon beau-fils me répond, comme à son habitude, quil sera content de nimporte quoi et ne manifeste aucune préférence. Quand ma fille sort avec ses amies, je lui propose systématiquement un peu dargent de poche, et elle accepte sans hésiter. Mon beau-fils, lui, refuse catégoriquement le moindre centime de plus, prétextant quil a ce quil faut. Il ne veut rien accepter de moi, répétant quil a assez. Pourtant, je sais parfaitement quil préfèrerait en recevoir davantage, car il se tourne alors vers sa mère, mais jamais directement vers moi.

Après toutes ces années de vie commune, il éprouve encore de la gêne à me demander quoi que ce soit? Je lai élevé comme mon enfant, et il se cache encore derrière sa mère comme un petit garçon. Son père biologique na aucun lien avec lui depuis très longtemps, mais malgré tout, il se comporte avec moi comme si jétais un étranger.

Il vient davoir seize ans et, à lapproche de la date limite pour choisir son lycée, toute la famille en discute. Il est convaincu dêtre pris dans le lycée public quil souhaite intégrer. Moi, je lui conseille de ne pas écarter dautres options, y compris des établissements privés, et je lui propose de prendre en charge les frais de scolarité. Mais mon beau-fils affirme que ce nest pas nécessaire. Il se débrouillera, ou il trouvera une solution tout seul.

Je trouve son attitude extrêmement arrogante et son refus de coopérer très blessant envers moi en tant que parent. Puisque Monsieur veut faire tout tout seul, quil assume jusquau bout! Sil refuse quon le soutienne financièrement, il naura rien de plus.

Ma femme, Amélie, a réagi de façon assez ambiguë à mes remarques, maccusant dagir de façon enfantine. Pour moi, cest plutôt son fils, Éloi, qui se comporte comme un adulte. Je ne sais plus comment me positionner face à lui pour ne pas me sentir continuellement rejeté.

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Mon beau-fils m’a dit qu’il en avait assez ; alors j’ai décidé de ne plus faire semblant—Après treize ans à l’élever comme ma propre fille, il refuse mon aide et tout cadeau, tandis que la discussion sur son choix d’école dévoile sa distance, son refus d’accepter quoi que ce soit de moi et sa préférence pour demander à sa mère, ce qui me blesse profondément et me fait remettre en cause ma place dans notre famille recomposée.
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