Ma belle-fille exige que je vende mon appartement pour payer la maison de son fils : Je refuse de finir à la rue !

**Journal dun Père**

Mon cœur se déchire entre lamour et lamertume. Ma belle-fille, toujours insatiable, veut que je vende mon bien pour financer le rêve de mon fils. Leur grand projet familial ressemble à une condamnation, et moi, un vieil homme seul, je redoute de me retrouver sans rien. Cette histoire est celle dune loyauté mise à lépreuve, dune trahison silencieuse et du droit de garder son dernier refuge dans un monde qui méchappe.

Je mappelle Lucien Dubois, et je vis dans un petit village des Alpes-Maritimes. Il y a dix ans, mon fils, Théo, a épousé Camille. Depuis, ils sentassent dans un studio avec leur garçon. Il y a sept ans, Théo a acheté un terrain et a commencé à bâtir une maison. La première année, rien. La seconde, ils ont posé la clôture et les fondations. Puis, faute dargent, les travaux se sont arrêtés. Théo économisait sou par sou, sans jamais perdre espoir. Peu à peu, ils ont élevé les murs, rêvant dune grande demeure où je pourrais vivre avec eux. Mon fils a toujours été dévoué, et jen suis fier.

Ils ont déjà tant sacrifié. Camille a convaincu Théo de vendre leur F2 pour sentasser dans un studio et investir dans la maison. Maintenant, ils vivent à létroit, mais leur détermination ne faiblit pas. Lorsquils viennent me voir, toutes les discussions tournent autour des travaux : la toiture, lisolation, la plomberie Mes douleurs, mes soucis, semblent bien loin. Je reste silencieux, mais une inquiétude sourde grandit en moi. Depuis longtemps, je sens que Camille veut que je vende mon trois-pièces pour finir leur projet.

Un soir, Théo ma dit : « Papa, nous vivrons tous ensemble là-bas toi, nous, et le petit. » Jai osé demander : « Alors, je dois vendre chez moi ? » Ils ont souri, parlant avec enthousiasme de cette vie commune. Mais en voyant le regard dur de Camille, jai compris une chose : je ne supporterais jamais son autorité. Elle ne cache pas son irritation, et moi, jen ai assez de faire semblant. Ses silences coupants, ses remarques acerbes ce nest pas ainsi que je veux vieillir.

Je veux aider mon fils. Cela me brise de le voir peiner, sachant que ce chantier pourrait durer encore des années. Mais une question me tourmente : « Et moi, où irais-je ? » Mentasser dans leur studio ? Dans cette maison inachevée, sans chauffage ni eau chaude ? Camille a rétorqué aussitôt : « Tu seras bien mieux à la campagne ! » Nous avons une vieille maison de vacances une bicoque sans isolation, habitable seulement en été. Jaime y passer quelques semaines, mais lhiver ? Me chauffer à la cheminée, me laver à leau froide, sortir sous la neige pour aller aux toilettes ? Mes rhumatismes ny survivraient pas.

« À la campagne, les vieux sen contentent », a lancé Camille. Peut-être, mais pas dans ces conditions ! Je refuse de faire de mes vieux jours un combat pour survivre. Pourtant, largent manque, et je sens ma belle-fille me pousser vers la sortie. Récemment, je lai entendue chuchoter au téléphone : « Il faut quil parte chez le voisin, et vendre son appartement. » Jai eu un frisson. Le voisin, Jean-Claude Bernard, est un veuf solitaire comme moi. Nous partageons parfois un verre de vin, parlant du temps passé. Mais vivre chez lui ? Voilà son plan mévincer tout en prenant mon bien.

Je savais que Camille ne voulait pas de moi sous son toit, mais à ce point de calcul Je ne crois pas à leur promesse dune vie commune. Ses paroles ne sont que pièges pour me faire céder. Jaime Théo, et sa détresse me serre le cœur, mais je ne peux sacrifier mon dernier refuge. Sans lui, je ne serais plus quun vieillard abandonné, comme un meuble hors dusage. Et si leur chantier naboutissait jamais, me laissant sans rien ? Ou dans cette maison glaciale où lhiver serait une lente agonie ?

Chaque nuit, je lutte contre mes pensées. Aider mon fils est un devoir, mais devenir sans-abri est un prix trop lourd. Camille ne voit en moi quun obstacle, et son manigance avec le voisin ma transpercé. Je crains de perdre à la fois mon chez-moi et mon fils si je refuse. Pourtant, la peur de finir sous un pont, dépouillé de tout, est plus forte. Je ne sais quelle issue choisir, pour ne trahir ni mon enfant, ni moi-même. Mon âme se débat, et je prie pour trouver la force de ne pas me noyer dans ce tourment.

**Leçon dun vieil homme : On ne vend pas ses racines, même par amour.**

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Ma belle-fille exige que je vende mon appartement pour payer la maison de son fils : Je refuse de finir à la rue !
Eh bien, maman, es-tu prête à rencontrer papa ?» sourit l’infirmière en me tendant un bébé bien emmailloté. «Regarde, tout le monde s’est déjà rassemblé sous les fenêtres avec des fleurs.