**Rencontre Inattendue au Marché avec Mon Ex-Belle-Mère : Elle Était Méconnaissable !**
Un samedi, alors que je faisais mes courses au marché, je suis tombé sur mon ex-belle-mère. Elle avait tellement changé, paraissant bien plus âgée. Je me suis précipité vers elle, lai saluée, et nous avons discuté de la vie. Elle ne sest pas plainte de son fils, mais jai tout de suite senti que la situation était difficile. Elle ma dit au revoir, mais en insistant pour que je lappelle le lendemain. Jai de la peine pour elle jai vécu dix ans chez elle, dans le confort. Puis son fils a ramené une nouvelle épouse, affirmant quelle serait meilleure que moi.
Jai habité avec mon mari chez sa mère pendant dix ans. Antoine disait souvent quil nétait pas nécessaire dacheter une maison, car sa mère navait que lui, et que la maison nous reviendrait un jour. Ses mots mont toujours dérangé on ne parle pas ainsi. Quand jai commencé à vivre avec ma belle-mère, jai découvert une femme calme et bonne, pleine de chaleur humaine.
Après le mariage, Antoine a complètement changé envers moi. Même la naissance de notre fils na rien arrangé. Je ne me sentais plus dans une vraie relation. Seule ma belle-mère était une confidente. Par respect, je nai jamais critiqué son fils devant elle, mais elle comprenait tout. Elle ma toujours aidée avec lenfant, année après année.
Elle lemmenait à la crèche, puis à lécole, et préparait nos repas. Dix ans ont passé. Un jour, sans prévenir, Antoine a annoncé quil voulait divorcer. Il a refusé de quitter la maison, affirmant quelle lui appartenait. Cest à moi de partir. Pour la première fois, ma belle-mère est intervenue, lui demandant de réfléchir, de sauver la famille, de penser à lenfant. Mais il avait déjà pris sa décision, sourd à toute raison. Jai fait mes valises et suis partie. Il vit désormais avec sa nouvelle femme. Moi, je loue une chambre chez une vieille dame.
Aujourdhui, cest dur. Mon salaire suffit à peine à vivre. Mon fils et moi sommes chez des inconnus. La propriétaire nest pas méchante, mais son caractère est difficile. Toujours mécontente, trouvant tout ce que je fais mal. Nous prenons nos repas dans notre chambre pour léviter.
Puis, au marché, jai revu ma belle-mère. Ses yeux étaient tristes. Elle ne sest pas plainte, mais jai compris quelle aussi souffrait chez elle. Nous avons parlé franchement. Elle ma supplié de lappeler. Jai tant de peine pour elle Je laccueillerais bien chez moi, nous pourrions nous soutenir. Mais je nai même pas de toit à moi. Que faire ?
*Journal dun homme qui réalise trop tard que certaines femmes méritent mieux que le silence.*







