Ma sœur a interdit à ma fille d’aller dans la piscine pendant que les autres enfants jouaient et nageaient : j’ai voulu savoir pourquoi et sa réponse m’a horrifiée

Ma sœur aînée a interdit à ma fille de se joindre aux autres enfants dans la piscine : jai voulu savoir pourquoi, et sa réponse ma glacée.

Cétait lanniversaire de la fille de ma sœur. Pour fêter cela, elle avait organisé une fête autour de la piscine familiale et avait invité toute la famille à ses frais.

Bien sûr, jétais ravie ma petite adorait leau et les jeux, et nous avions accepté linvitation avec plaisir. Mais je ne mattendais pas à ce que cette journée se transforme en cauchemar.

Tout commença pour le mieux. Les enfants riaient, couraient, samusaient sans retenue. Puis vint le moment où ils décidèrent dentrer dans leau.

Tous sautèrent avec joie dans la piscine, éclaboussant et criant de bonheur tous, sauf ma fille. Je remarquai que ma sœur semblait lempêcher délibérément dapprocher.

« Je peux y aller aussi ? » demanda ma petite dune voix timide.

Mais ma sœur rétorqua sèchement :

« Non. »

Je vis les yeux de mon enfant se remplir de larmes. Elle restait sur le bord, serrant les poings, regardant les autres samuser sans elle. Seule, exclue.

Une colère sourde menvahit. Je compris quil fallait défendre mon enfant et décidai de confronter ma sœur.

Je mapprochai delle :

« Pourquoi tous les enfants ont le droit de nager, sauf ma fille ? Si cest une question dargent, je paierai pour elle. Cest une enfant, pourquoi être si cruelle ? »

Elle me lança un regard froid et répondit :

« Cest ma décision. »

« Mais pourquoi ? » ma voix tremblait à peine retenue. « Tu ne peux même pas mexpliquer ? »

Elle soupira lourdement, me fixa droit dans les yeux et prononça des mots qui me coupèrent le souffle. Je restai figée, incapable de répondre.

« Parce que toute ma vie, nos parents tont préférée à moi. Tu as toujours été la « fille parfaite », celle qui réussissait tout, dont ils pouvaient être fiers. Et maintenant, cest la même chose : ils aiment ta fille plus que la mienne. Elle est toujours au centre de lattention, tout le monde ladmire. Et ma fille ? Elle reste dans lombre. Je ne permettrai pas quen ce jour qui lui appartient, tout le monde ne voie que la tienne. »

Je demeurai stupéfaite, essayant de digérer ses paroles. Ce nétait pas ma sœur qui se tenait devant moi, mais une femme rongée par des décennies de jalousie, la déversant maintenant sur une enfant.

Je pris la main de ma fille et murmurai :

« Viens, ma chérie. Nous ne resterons pas là où lon te fait du mal. »

Elle mentoura le cou de ses petits bras et pleura contre mon épaule.

Ce jour-là, jappris une chose : la jalousie peut détruire bien plus quune fête elle peut briser une famille.

Оцените статью
Ma sœur a interdit à ma fille d’aller dans la piscine pendant que les autres enfants jouaient et nageaient : j’ai voulu savoir pourquoi et sa réponse m’a horrifiée
TU VIENS…