– C’est lui qui a voulu vivre chez moi – dit ma belle-mère en fermant le portillon

Cest lui qui a voulu rester avec moi, déclara la belle-mère en refermant le portillon, laissant Élodie dehors dans son peignoir léger et ses chaussons.

Le claquement du loquet résonna comme une sentence. Élodie resta immobile quelques secondes, incapable de bouger, fixant la porte en bois sculpté derrière laquelle venait de disparaître son fils de sept ans. Son fils. Son Louis.

Marina Ivanovna ! finit-elle par crier, tirant de toutes ses forces sur la poignée du portillon, verrouillée. Marina Ivanovna, ouvrez ! Quest-ce que vous faites ? Louis ! Mon petit Lou !

Aucun bruit ne venait de derrière la porte. Seul le vent faisait bruisser les feuilles mortes dans le jardin de sa belle-mère. Élodie frissonna. Elle était sortie en toute hâte, sans même enfiler son manteau, et le vent d

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– C’est lui qui a voulu vivre chez moi – dit ma belle-mère en fermant le portillon
L’époux vaut mieux que les amères rancunes